Transcriptions
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ce directeur général des nations unies monsieur le président du pôle métropolitain genevois
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mesdames et messieurs je peux rue mesdames et messieurs
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toujours un plaisir que de parlent et des thématiques d'urbanisme de ville
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dans ce lieu ce lieu hors cycle i. pas entre vous le savez qui est une ancienne usine
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themes finance imagine des fameux extincteurs cyclique d'aujourd'hui devenu une place
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un lieu de patrimoine merveilleux de patrimoine vivant de rencontres au coeur de ville
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au coeur surtout du futur du futur centre ville de genève et
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peut être celui nous rappelle que dans notre démocratie dans notre
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démocratie helvétique et peut être même plus qu'ailleurs
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les notions d'aménagement du territoire mais qui sont bien
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évidemment celle de l'urbanisme celle de l'architecture
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celle du patrimoine celle de l'environnement celle de l'énergie celle de
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protection contre le risque des accidents majeurs celle de toutes les politiques
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finalement publique de la mobilité celle de l'ingénierie celle de l'espace
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public et bien toutes ces politiques la seconde notre système démocratique
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peser supposé débattu au niveau fédéral au niveau cantonal au niveau
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municipal au niveau métropolitains dans le grand genève aussi
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et par conséquent elles font l'objet vraiment d'eux
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une analyse d'un débat de décision et aussi de lois et de règlement
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qui fait qu'on arrive au bout d'un processus
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extrêmement codifié pour le dire à des résultats solides
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les processus d'aménagements sur notre territoire sans délai cette des processus
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loue mais démocratiquement solide et juridiquement solide
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serra colomb perdre devant les tribunaux
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mais ce sont des processus humour et qui ont de
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parents eux justement leurs caractéristiques légales et réglementaires
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u n m certaines tendance à restreindre
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à restreindre la créativité à restreindre certaines libertés
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et pour moi c'est le sens que je vois à cette démarche de là
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à la fondation bayard que je salue ces deux sortir quelque part
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de ces normes de sortir de ces règles qui pour
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les professionnels eux qui agissent soit notamment des administrations
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son lot quotidien son lot quotidien québec parfois frustrant et qui nécessite
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essai le lieu ici de faire aussi à travers des
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équipes pluridisciplinaires et des équipes qui viennent de l'étranger même en dehors d'eux en dehors de l'europe
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qui nous permettent justement de se sortir d'être dans une logique out of the box
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b dans une logique de grande créativité le plus grand large s dans
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un l'appréhension de ces problèmes contemporains de la vie
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alors la ville très clairement au nom du pas dans un
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deuxième siècle c l'avenir de l'humanité
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il ya depuis 2007 le basculement de la majorité de la population du monde qui est passé
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à être population urbaine donc ça hier depuis lors de l'humanité on a
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on a franchi un cap symbolique de manière assez discrète d'ailleurs mais
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avec l'évolution de la chine eh bien aujourd'hui la majorité des habitants de la planète vivent en milieu urbain
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et puis la ville et toujours entachée dans l'esprit beaucoup de gens
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pas tous heureusement beaucoup de personnes départ convient attribuait notamment je pense
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10 neuvième on va en début du vingtième siècle de pollution de densité désagréable
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de lieux d'étouffement de lieux de détention alors certes
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de prospérité c'est là où se créent
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les pôles économiques plus fort mais ce n'est pas là où il fait bon vivre
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il croit pour moi ça c'est un des défis tout
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particulier aujourd'hui l'avènement métropolitain de notre planète
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et de notre petite métropole que nous partageons activement avec
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eux nos voisins français nos voisins vaudois c
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comment avoir une projection du beau vivre avoir une projection
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du lien social projection du lien de la proximité
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dire villageoise même certaines je qu'un certain nombre d'heures je connais mes voisins je peux compter sur eux
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une certaine vision de la ville où je n'ai pas qu'une
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édition d'individualisme je n'ai pas que l'addition de solitude
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chaque enfermé dans son appartement mais bien d'espace de partage à différentes échelles
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les différentes échelles de la ville sont des éléments clés aujourd'hui qui passe
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par l'échelle d'ailleurs de l'immeuble les chefs de la
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plu celle de ses voisins comment faire vivre cette vie comment partager au
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sein même des immeubles des relation sociale qui se sont perdus
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combien de fois on à genève les personnes âgées qui décède et
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qui reste des jours voire des semaines toute seule en appartement
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c'est extrêmement fréquent
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cette industrie chose ces gens sont servis enfermés chez eux
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et ce bien là évidemment ça n'appartient pas qu'à l'aménagement
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puisque des liens familiaux sites sont distendu devient bien plus large mais
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ça me frappe à chaque fois quand même quand j'entends ce genre d'anecdotes qui sont relativement courante et
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je pense que l'abonnement justement de cette ville c'est de la proximité qui commence par ces liens c'est bien précis
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j'aime appeler villageois c'est à dire peu de connaissances vraiment au quotidien
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de ses voisins en son premier niveau deuxième niveau est celui des quartiers
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celui des quartiers construits autour des infrastructures publiques que sont les écoles que sont les espaces publics les
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espaces verts que sont les lieux du sport les cultures de la proximité qui fait qu'on
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qu'on développe un voisinage et puis le troisième niveau celui de la métropole effectivement
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avec des infrastructures culturelles une activité économique et puis un réseau de transport
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qui ne peut être que ferroviaire l'avènement du métropole d'un million d'habitants ne pourra se
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désengorger les voitures qui évoquait médicalement l'air qu'à travers l'avènement du structure ferroviaire faux
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ces enjeux là évidemment avec la modernité la modernité qui nous engage
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à économiser kwh
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qui nous engage à diminuer le nombre de kilos de CO 2 émis
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et qui nous engage maxima à préserver des mètres carrés naturelle et dédié à l'agriculture
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quoique ces contraintes sont inévitables pensent qu'aucun modèle ne peut passer par l'économie l'économie
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la parcimonie dans les émissions dans la consommation énergétique dans l'émission de surveiller la consommation
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du territoire naturel avec l'avènement il faut faire se passa la modernité de tout
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ce qu'on appelle la smart city c'est à dire la capacité aussi
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les collectivités ont été privés à avoir une formation de réfléchir
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enflure permanent sur l'optimisation justement de ces flux énergétique de
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ces flux d'espaces d'utilisation des mètres carrés de
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ces outils de gestion de la matière de déchets qui sont des thématiques ex amant extrêmement important
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et puis pour moi notre défi est fondamental de la ville du futur c la résilience
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combien de français tromper combien de générations se sont trompés dans les choix
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du futur prenons par exemple à genève mais pas les seuls
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eux qui eux dans les années 50 et 60 ses
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vertus et arracher tout les rails de trame
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que l'on avait construit au début du vingtième siècle on se dit normal futur cela voiture
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voyons lyon nous avons annonces a vendre automobile chez nous et puis aujourd'hui regarder les
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dizaines centaines de millions de francs et lumineux énorme chantier que nous devons
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assumer pour remettre du tram à savoir un transports ferroviaires urbains
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voilà des erreurs qui ont été faites donc c'est faux de croire qu'eux
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décision pascal a été validé démocratiquement par 4 respecte ou les règlements
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toutes les lois et forcément décision juste pour l'avenir
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et c'est là encore un des rôles de la fondation boilard que d'avoir cette projection d'avoir
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cette vision des enjeux du futur pour permettre aux décideurs d'aujourd'hui de faire juste
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de créer l'avènement de cette ville certes donc mais où il fait bon vivre
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il vit le certes moderne mais qui préserve les liens
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sociaux et qui arrivent à cultiver la proximité
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une ville certes technologique des résidents thomas vu un micro
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on peut pas marcher directement et on le
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voit aussi dans des installations technologiques grande fragilité qu'elles peuvent avoir en cas de cession
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simple les défis qui sont les nôtres définissons les votes mesdames et messieurs les professionnels et je remercie encore