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pendant ces règles doivent être assurant regarde qu'eux il ya un beaucoup de
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sans doute home ou de maladie un petit psychiatriques sont en lien très étroit
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avec l'épilepsie et donc ça fait longtemps que
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les soucis neptune maladies psychiatriques éclat neurologie eux
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s'en occupe depuis longue date y'avait rien clinique qui reste quand même assez étroit
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ou soit des symptômes soit des maladies psychiatriques peuvent
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survenir dans contexte étape si et vice versa
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c'est toute la question de la bidirectionnalité s'il ya plusieurs papiers plusieurs auteurs qui
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c'est un peu mettre en évidence qui sont des liens entre ce que fait d'avoir maladies psychiatriques
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peu près disposés à voir avec les psy ou estce que le fait d'
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avoir négocie me rend aussi plus vulnérables à développer des maladies psychiatriques
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en fait si avait déjà été décrit par hippocrate ya plus de 2'300
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en arrière utilisés dans les moments comiques deviennent des hypothétiques les épileptiques des mélancolique
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ce qui détermine un peu la préférence à l'aide de la décision direction prise par la maladie un
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0 un étude ont donc publié en 2001 qui a mis clairement en
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évidence que le patient qui entre l'humeur donc ce que serait la dépression
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un grand risque 6 fois plus élevé un développer année pleine si c'est énorme
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les études qui ont été faits b beaucoup de récents qui les essais on peut
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mesurer quelle serait la révélation risque entre déplaît psy et des pathologies psychiatriques
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et qui ont pris des registres des patients qui avait un déplétion bien aussi les psy récents
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class comme il ya cette possibilité de bases de données
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qui ont ce registre contrôlée avec aussi importation non éclectique
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et quand on voit acquis un bien très étroit entre différents diagnostics psychiatriques en fait
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qui peuvent être présents jusqu'à 5 ans avant la première crise et aussi
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qui peuvent survenir jusqu'à deux ans après la crise d'épilepsie
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il fonctionne comme un facteur de risque mutuelle bidirectionnelle
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alors faire aussi donc avait montré que le risque était plus élevé chez les
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patients déprimés développer les psy a fait de notre étude beaucoup trop tard
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en montrant que finalement l'incidence de la dépression et tous les c'estàdire que fed je peux déprimé
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de façon tout significativement en lien avec la crise jusqu'à 3 ans avant la
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survenue de la première crise d'épilepsie et aussi jusqu'à 300 toute art
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en ce qu'elle l'anxiété de même 3 ans avant et jusqu'à deux ans plus
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tard et quelque chose qui est très inquiétant c'est que l'incidence de suicide
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c'est vrai qu'en 3 ans avant 0 un après dans un contexte un diagnostic d'épilepsie donc
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aujourd'hui parce que ce soit on n'aurait jamais entendu parler de tout les comorbidités
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j'ai choisi de parler de 3 points que pour moi sont le plus important
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passé finalement ceux qui sont plus présents dans ce que ca plus d'impact
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au niveau de la souffrance psychique des patients mais aussi au niveau du
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soir évolution doivent si excellent dépression anxiété une partie du suicide
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donc dépression anxiété on peut au doigt bidirectionnalité que je
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vous ai parlé avant et il ya des aspects de
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type psychosocial et des aspects de type biologique donc il
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ya stigmatisation chez les patients éthique est très importante
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encore à nos jours G7 pour raisons historiques on sait bien combien de patients éclectique
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ont souffert doivent la non connaissance qu'estce qu'arriver à ces gens là
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encore à nos jours sa scène réalité qui est bien présente
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les dettes si le prêteur et l'envie de dire
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c'est souvent de maladies chroniques pas toujours mais ces mêmes maladies chroniques un avec quelques particularités
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encore en vie avec cette stigmatisation
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le jeu de souvenirs des patients qui ne peut même avec l'épilepsie disons extrêmement peur
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d'être perçue aux vues comme des défauts des femmes en ayant des crises
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condamne treizième perd connaissance on s'est pas qui s'est passé pendant
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qui j'ai été ou les autres ils m'ont vu comment
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ça c'est des questions que passionnés se pose et que ça s'activent passion d'autre ce que je ne suis pas comme des autres
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steve dont des jeunes patients à l'âge scolaire ça peut être assez problématique comment vivre
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et puis à tous les aspects un peu d'anxiété sapin engendré que
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je ne sais jamais cantine crise peut se présenter ces n'importe quand je peux avoir en crise
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si les patients qui ont pas vraiment quelque chose de programmes donc des symptômes qui sont en tout petit peu avant
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la crise et qui peut me permettre d'anticiper les crises donc ça peut arriver soudainement donc sacré commun angoisse
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et je commence arrête récit roi adapté même mon style de vie à quelque chose
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qui peut tomber comme ça soudainement puis la réalité c'est que quelqu'
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un délimitation judiciaire naît en rémission complète des crises pas vraiment mais si
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on a quelques crises même si ces occasionnellement on ne peut pas conduire
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et à certaines activités connaît un danger comme nager faire vidéo et certains types
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d'aides et des emplois ont été limités on en lien avec harris
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il ya des aspects biologiques patron très en détail mais y'a
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cette époque le type d'épilepsie G6 émet une où est
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la vision je peux avoir tous les manifestations de type psychiatrique donc c'
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est pas uniquement des aspects ample réactionnaire ceci qu'elle aime
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mon type de psy i. o. et localiser ce foyer je peux avoir des différences
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les athéniens chimique des substances dans cerveau qui vont être aussi toucher à la fois par étapes
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si ils jouent un rôle avec certaines pathologies psychiatriques puis il ya quand même de malheureusement
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donc des épilepsies surtout que sont plus difficiles à traiter qu'on commence à combiner des différents médicaments bien
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des aspects d'effets indésirables du traitement antithétique qui sont
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ne se manifeste par des des aspects
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psychiatrique psychologique audelà d'une fatigue cette tristesse irritabilité eux qui
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qui a difficile parfois composées pour cette passion
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pour revenir à la stigmatisation éparses qui pensaient 7 point un point très important et x
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est quelque chose que je pense que ça me touche à tous de pouvoir travailler
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cette étude en 2000 en europe c'est cette paille hassan
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content 1'500 en arrière mais dommage moyenne c.
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cette impression pensaient que 51% dépasser la moitié des sujets souffrant d'épilepsie
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décrivent une stigmatisation importante et fortement stigmatiser c'est quand même un sur
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5 encore à nos jours donc ça c'est extrêmement décevant
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la prévalence des maladies psychiatriques et peu élevé chez les patients souffrant d'épilepsie
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que ton agression normal ça on sait très clairement et surtout
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chez dans des passions avec mes petits réfractaires donc
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né pepsi malgré une tentative de traiter avec des médicaments il a toujours des crises que survienne
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la dépression l'anxiété sont les comorbidités sélection des pathologies qui
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vont accompagner des psy de façon plus régulière puis fréquente
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répression une prévalence avion dire jusqu'à 35% et l'anxiété de jusqu'à 25%
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quel impact is assez extrêmement important aussi que l'impact que sont en fait d'
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être déprimés ont anxieux malgré mon épilepsie
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qui s'assure le traitement antithétiques
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c. notre si je suis déprimé je suis tous prêt disposé
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a a présenté des effets indésirables de ce traitement antithétiques
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il s'a c c clairement démontré héros
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cette mauvaise tolérance au traitement antibiotique n'ait pas exclusifs dans des formes qu'on pourrait penser de dépression
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très sévère et très manifesté même dans des des formes légères sousse andronic c'estàdire des
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de même légère dépression il ya aussi déjà une incidence d'effets indésirables au traitement qui majeur
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je sais pas uniquement avec la dépression uniquement fait de souffrir de troubles
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anxieux je serais plus prêt disposé à avoir des effets indésirables
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et puis j'ai aussi inquiétant cette pensée que ce traitement his
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sera moins efficace aussi chez des patients hypothétique sont déprimés angoissée
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et donc la réponse au traitement des petites finalement sera moins bonne eux ce qui
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pourrait impliquer à changer les médicaments faire d'autres tentatives en pensant qui
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a des choses qui ne jouent pas clairement sportif qu'il faut penser ses
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biens dépression anxiété qui peut expliquer c'est un manque d'efficacité
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pour montrer se présente comme l'étude qui ont été faits avec 100
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38 passion donc qui reçoivent un diagnostic de d'épilepsie
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et que le moment du diagnostic on peut voir poser un
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diagnostic de dépression anxiété 11 a vu donc
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une aide tard et uniquement fait que demander diagnostiqués avec
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dépression anxiété on voit que cela ces groupes là
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et ils vont être avec une probabilité plus petite que d'être en rémission complète une petite serre
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eux ils vont pas être en rémission de cette crise en comparaison avec
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les patients qui n'ont pas de dépression d'anxiété
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dans notre étude similaire que c'est pas uniquement une question suivie de tout gros score t.
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avait un ensemble de passion que beaucoup de grandes de 780 un patient
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qualité suivi différemment mais en moyenne jusqu'à mois et que le fait de la dépression
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d'anxiété faits qui sont deux fois moins de probité mettront en rémission cette crise
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il ya quand même des missions d'efficacité du traitement songeons par le fait d'être déprimé en action
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il y'a un impact sur la qualité de vie j'avais déjà parlé avant eux ma dépression et
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le meilleur variable comme valeur prédictive de la qualité de vie chez les patients souffrant d'épilepsie
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et même si on pourrait penser va sont des prix maison des décrits sont plus intense plus sévère plus fréquentes
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même si on essaie de rééquilibrer ses aspects c'estàdire si je compare des groupes qui ont le même
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type de crise même intensité avec la même fréquence sentiment de faire des traits qui sont déprimés jan
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un traité dickey vraiment mineur par rapport aux patients non déprimé
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et ça c'est le fait que les vieilles de cesser assez
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compliqué parce que la dépression et souvent accompagnés d'anxiété et
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c'est difficile de faire parfois la part des choses entre dépression troubles anxieux et quand on a des deux entités saisir
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pas uniquement d'anxiété mais à paris en patrouille phobique quelque chose qui est dans
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des troubles anxieux cet impact sur la qualité de vie encore majeur
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l'impact de la dépression anxiété sur la mortalité chez les patients éclectique
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ça c'est un papier qui est sorti y'a pas si longtemps dans un journal assez réputé 27 k
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montrer que la mortalité prématurée 11 fois plus élevé chez les patients souffrant de narcolepsie
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que 16% de ce sommet a est en lien avec des coûts externes et compris
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donc je suis si et dans ce groupe de la 75% un
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mais le souffraient de maladies psychiatriques comoriens souhaitait psy c'est vraiment penser que
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liens un lien entre eux la maladie psychiatrique et la mortalité chez les patients traités
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éléments de suicide et ça c'est quelque chose qui inquiétant
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on sait que votre psychiatriques sont facteurs de risque très important pour aussi si l'on pense même que
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lors d'un geste suicidaire 90% des patients
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souffrent d'un second mandat d'une maladie psychiatrique
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si on sachant que les maladies psychiatriques sont propres fréquente chez les patients souffrant d'épilepsie
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c'est pas très compliqué de penser que gary suicidaire 4 fois plus élevé
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chez les patients souffrant de narcolepsie en comparaison avec la population générale
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et que le bien ne pourrait être uniquement avec le fait pas uniquement d'un
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d'inhibition dans passage lac mais peut être avec cette comorbidité psychiatrique enjeux par
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une étude qui a montré par exemple que 145 passion i à v
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5 qui avait déjà des antécédents d'hormones passage intacte et que tous
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il avait soit un soit de diagnostic psychiatrique tant ceux qui avaient passé un acte
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il ya un papier qui est sorti il ya quelque temps mais ferme
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résume son thèse d'un ensemble d'autres papiers qui étaient publiés
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lesquelles montrent que le suicide correspond à 12% en raison de décès
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chez les patients souffrant d'épilepsie fixé énorme en parc du suicide
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un i. a. des coûts augmenté chez les patients déprimés et anxieux les politiques en comparaison avec
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ce qui n'ont pas dépression ni anxiété qui consulte davantage encore en consommer plus
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de ressources et que ça témoignent ces mon point de vue mais la souffrance en
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quelque chose qui va pas bien raison pour laquelle vont solliciter le médecin davantage
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pour demander vous êtes dans quelque chose que finalement on n'arrive pas corrigé excès proportionnel à l'intensité de la
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dépression sévère de tout je suis déprimé à tous je vais consulter compris des urgences médecin traitant de neurones donc
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en résumé centrant notre passion et petits qui sont plus très disposés à voir des pathologies psychiatriques
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dans toute la panoplie que vous démontrer de pathologies des symptômes sont fréquents chez
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le patient est détection prend uniquement entre les mains regroupe donc sur deux
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on voit qu'elle a des impacts sur le traitement avec les prédispositions effets indésirables
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l'efficacité diminuer de traitement antibiotique qui a un impact sur la qualité de vie
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la plus mortalité le suicide et plus consultations avec des coûts pour la santé
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donc la dépression anxiété dans les passions éclectique a quand même un vrai impact quoi faire pour moi
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je pense qu'un des points francie passe vraiment dadais stigmatisation de la psychiatrie i.
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et c'est des stigmatisation n'appartient pas uniquement passion les sensations
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que mon expérience je pense que c'est aussi à tous
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comme on peut voir aujourd'hui la psychiatrie mais aussi de
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collègues je des neurologues médecins traitants keck demande la concertation
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je pense qu'il a un travail à faire tous si c'est assez simple aujourd'hui
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que quelqu'un qui à l'information psychiatriques des connaissances psychologique
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très développé qui puisse faire de façon très rapide
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décédé petit questionnaire petit échec et on peut faire en ont de 3 minutes
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et qui peut fonctionner un peu comme oui non à la fin comme réponse de dire
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et ce qui est probablement cette panne c'est pas des outils de diagnostic
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c'est pas le médecin traitant qui va vous faire des questionnaires et qui va obtenir un diagnostic psychiatrique et ça permet de
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dire et ce que peut être oui et donc à partir de
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là de pouvoir ensemble avec passion être accordée adressé sur
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un psychiatre fixé cet accès aux soins psychiatriques qui faut vraiment
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privilégié parce que mon expérience est malheureusement
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des passions hillary va être en souffrance prolongée
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depuis longtemps avec des troubles anxieux avec dépression
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et que ça se prolonge gang bang longuement jusqu'a k en premier accès un psychiatre malheureusement
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cette consultation psychiatrique peut se faire genre ici apporte avait
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hier la psychiatrie disons donc c'est assez simple
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que le collègue neurologue puisse demander ma présence soit en binôme de laver voir ensemble passion
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soit de rapidement de revoir et poser un diagnostic passer
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sa principale par ce dernier doit déterminer comment on va
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le traiter et il faut pas avoir peur c'est vrai que y'a quelques temps arrière billet
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que quelqu'un qu'ont été décrits des passions qui avait pris certains médicaments et qui avait augmenté les crises
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ça fait un peu de certaines panique chez tout le monde et pendant longtemps on est
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redouté utiliser des médicaments psychiatriques chez les patients avec netteté psy ce qu'il faut
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william des études qui ont trait même que ça certains médicaments psychiatriques peuvent avoir
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un effet protecteur sévère qui peuvent diminuer décrit chez les patients éclectique
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avec eux de temps quand on reporte traitement
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c'est du temps où le patient souffre
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oui à tout impact dont je vous ai montré par rapport à même à l'histoire
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d'épilepsie leur dévotion de sa maladie et en souffrance qui a culminé inévitablement
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les traitements et peut être médicaments mais aussi les psychothérapies comme professeurs écrivains avait parlé avant
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spécifique et qui ont montré l'efficacité donc c'est pas uniquement des médicaments
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page 27 diapo séjour pour terminer cette il faut intégrer la psychiatrie comme un
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parti de toutes les disciplines doivent être impliqués autour du patient avec netteté psy
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et oui ça c'est le procès pour mandat de stigmatisation
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c'est que vous passiez puisse comprendre la psychiatrie
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à une classe qui bien justifié après ce que je viens de vous expliquer
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et que l'accès et devrait être très facilitée par ce qu'on aurait déjà être was
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er on la psychiatrie fait partie de la prise en charge habituel de ses passions

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March 16, 2017 · 7:50 p.m.
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Questions du publique : Crise et épilepsie: de quoi parle-t-on?
Philippe Ryvlin, CHUV, Lausanne
March 16, 2017 · 8:10 p.m.
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Epilepsie et soins psychiatriques
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March 16, 2017 · 8:20 p.m.
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Joao Flores Alves dos Santos, Centre neuchâtelois de Psychiatrie
March 16, 2017 · 8:50 p.m.
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