Player is loading...

Embed

Copy embed code

Transcriptions

Note: this content has been automatically generated.
00:00:00
toute bonsoir à tous et fut ravi d'être parmi vous ce soir
00:00:04
je vais pas vous présenter diapositives et l'idée vraiment désireux d'
00:00:08
échanger sur ce sujet important de tes décide de comprendre
00:00:14
un ce que l'on entend par crises d'épilepsie et pourquoi parfois
00:00:19
les personnes qui sont censés souffrir de crises d'épilepsie on
00:00:23
va leur expliquer que la crise sont d'autre nature
00:00:27
que ça veut dire pourquoi de nature différente de
00:00:31
l'épilepsie et pourquoi on peut aussi avoir
00:00:37
les deux types de crises d'épilepsie et celles qu'on appelle non épileptiques
00:00:44
de comprendre quelles sont les éléments qui interviennent
00:00:49
pour l'une et l'autre des deux types de crises comprendre leurs liens
00:00:53
avec les émotions un soir d'épilepsie émotions des émotions le stress
00:01:00
et puis aussi vous dire quelques mots de là la difficulté que ça peut représenter pour le médecin
00:01:07
pour les médecins et on peut s'étonner parfois que les médecins puissent avoir
00:01:13
des avis totalement différent pour un même problème concernant un même patient
00:01:20
la conférence qu'on a eu avant vous veniez ce soir était entre professionnels et
00:01:24
on a vu comme on le voit toujours quand on aborde ce problème des
00:01:28
crise non épileptiques versus crises épileptiques que c'est une grande difficulté pour le diagnostic
00:01:35
comment on montre des vidéos et bien on a souvent
00:01:40
la moitié des médecins qui pense que c'est l'épilepsie puis l'autre moitié qui pensent que ce n'est pas dépilepsie
00:01:45
à se reflète dans la pratique courante j'en dirai amaury ça peut expliquer
00:01:49
qu'une personne se retrouve face à un médecin qui lui dit
00:01:53
je pense que c'est des crises d'épilepsie ils doivent ensuite un autre médecin qui va lui dire le contraire
00:01:59
donc voila c les sujets que je veux aborder avec vous ce soir dans les villes les 20 minutes qui viennent
00:02:05
alors
00:02:09
en pratique une crise que l'on entend par écrit ça va être un événement qui va durer typiquement
00:02:17
quelques secondes en général au moins 20 secondes jusqu'à
00:02:20
quelques minutes qui débute assez brutalement qui se fini
00:02:25
des fois de manière rapide défaut de manière un petit peu plus progressive et pas dans laquelle
00:02:31
les biens 11 la personne va plu avoir un comportement normal un comportement quelle maîtrise
00:02:39
en fonction des crises qui sont tellement nombreux jeux pas toutes voulait décrire et on a des milliers différentes
00:02:46
presque dire que chaque personne qui a présenté une crise d'épilepsie notamment
00:02:52
focale présente une forme de crise qui différente de toutes les autres
00:03:00
même si à des points communs
00:03:03
donc on est là devant une situation où le cerveau
00:03:07
ne fonctionne plus normalement pendant un court instant
00:03:12
qu'estce qui différencie la crise d'épilepsie d'une crise non épileptiques
00:03:18
c le fait que dans la crise d'épilepsie il se passe
00:03:21
un phénomène biologique particulier qui les unes des charges de neurones
00:03:28
que l'on peut observer avec l'électroencéphalogramme
00:03:33
semaine des charges de neurones qui en fait devra concerner des centaines de millions d'
00:03:37
euros ne pas deux ou 3 ou dissout sans des centaines de millions
00:03:42
si ça ne concerne pas autant neuron on ne va pas l'avoir le patient n'a
00:03:47
pas la ressentir ça doit déjà quelque chose qui implique une grande partie du cerf
00:03:54
on enregistre avec l'électroencéphalogramme
00:03:57
pas toujours parce que parfois elle peut rester dans la profondeur du cerveau
00:04:02
signe des raisons pour lesquelles il peut avoir des désaccords entre médecins
00:04:08
aucune personne peut faire une crise d'épilepsie et que cela ne se
00:04:12
voit pas sur l'électroencéphalogramme standard pascal reste dans les profondeurs
00:04:17
du cerveau ses rares la plupart du temps on le voit sur l'électroencéphalogramme mais parfois on peut ne pas le froid
00:04:25
encore ce sont les situations qui peuvent poser des problèmes diagnostic et des désaccords entre médecins
00:04:31
si
00:04:33
peut être amené à eux implanté des électrodes dans le cerveau ce qu'on fait
00:04:37
très rarement mais qu'on peut faire lorsqu'on prépare une chirurgie l'épilepsie
00:04:43
proposer un tout petit nombre de patients avec des épilepsies très sévère là
00:04:49
on doit l'avoir la décharge on la verra nécessairement si les électrodes sont posées dans la région du cerveau qui provoque
00:04:55
la crise on verra toujours systématiquement une décharge qu'on appelle
00:05:00
une décharge épileptique lors de la crise d'épilepsie
00:05:05
on sait ça vous voyez l'élément fondamental qui distingue la
00:05:08
crise d'épilepsie d'une crise kippour est très proche
00:05:13
sur le plan phénoménologique c'est à dire de ce que l'on observe chez la personne autre
00:05:18
que la personne ressent mais qui serait diagnostiqué comme non épileptiques et à décharge dans le cerf
00:05:27
qu'estce qui se passe lorsqu'on écrit son épileptique dans le cerveau
00:05:33
je ne sais pas
00:05:35
c'est un mystère
00:05:37
il faut reconnaître que c'est un mystère
00:05:41
on qualifie ce phénomène de trou bl fonctionnel
00:05:47
ou somatoformes dans le passé on utilisait interne
00:05:50
k stigmatisation et qu'on utilise plutôt innés plein terme médical on parlait d'hystérie
00:05:56
les parlementaires
00:06:00
ça peut être responsable de crise qui ressemblent à des crises d'épilepsie sape
00:06:05
est responsable d'autres phénomènes des personnes qui se retrouvent paralysé alors que si
00:06:10
l'enfer in ihrem du cerveau de la moelle on enregistre les muscles tout fonctionne
00:06:16
mais elle n'arrive pas bouger le côté droit ou le côté gauche
00:06:20
il peut avoir d'autre présentation
00:06:24
ça reste un mystère
00:06:28
en règle générale les personnes sont
00:06:31
inconsciente du trouble au sens que ce n'ai pas elle qui provoque
00:06:37
elles et elles sont paralysé web ont présenté une crise pas parce qu'elles ont décidé consciemment
00:06:43
de ne plus bouger de prétendre qu'elles sont paralysé alors qu'elles ne sont pas
00:06:48
ou de présenter ce qui ressemble à une crise pour prétendre de souffrir
00:06:52
de crise alors qu'en fait elle n'en souffre pas
00:06:55
ce n'ai pas quelque chose que les personnes maîtrise c'est quelque chose qui survient à l'insu de leur conscience
00:07:03
ça c'est très important comprend
00:07:06
pour autant ça reste un mystère mais le cerveau reste un mystère la conscience un
00:07:10
mystère dont on n'ait pas surpris de ne pas nécessairement tout comprendre
00:07:18
il ya des études qui s'intéressent à la manière dont le cerveau consomme du glucose
00:07:26
où va réagir à certaines stimulations
00:07:31
et ça nous permet finalement de mesurer de manière objective l'activité du
00:07:35
cerveau de rennes fonctionnelle en ce qu'on appelle le poète scan
00:07:42
les personnes qui présentent des troubles fonctionnels par exemple ce que j'évoquais
00:07:46
ceux qui sont paralysé d'un côté alors que normalement tout fonctionne
00:07:50
on peut voir que la partie du cerveau qui commande le côté paralysé et différentes
00:07:56
pendant la période où ils sont paralysé donc séparés de lésions stephen tumeur c
00:08:00
pas un accident vasculaire cérébral mais y'a quand même traces biologiques
00:08:05
et cette race biologique elle prouve a priori que ce n'est donc pas
00:08:09
simplement que le patient a décidé de ne pas bouger son côté
00:08:12
gauche de les voir le médecin est faire semblant d'être paralysé nan
00:08:15
ya quelque chose qui ne marche plu transitoire ment dans son cerveau
00:08:21
pour des raisons june francor qui restent mystérieuses
00:08:26
donc pour les crises d'épilepsie non psychogène eh bien c'est la même chose ça c'est vraiment peut être le point le plus
00:08:31
important de ce que je veux vous dire ce soir parce que quand on aborde ce problème l'erreur la plus grave erreur
00:08:38
est considéré que les personnes qui font des crises non épileptiques c pas sérieux c dans leur tête
00:08:45
dans leur tête comme les crises d'épilepsie sont en tête mais c'est extrêmement sérieux
00:08:51
j'en reparlerai après
00:08:54
c'est extrêmement sérieux parce que souvent ça traduit le fait
00:08:56
que ces des personnes qui ont souffert de traumatisme majeur
00:09:03
les femmes malheureusement le fait d'avoir des crises non épileptiques étant rapport dans grande
00:09:09
majorité des cas à des violences physiques à des violences sexuelles dans l'enfance
00:09:15
chose extrêmement rare
00:09:18
donc se permettre de dire à ces personnes que les crises non épileptiques c pas
00:09:22
grave si pas sérieux comprenez que ça veut dire d'emblée on nie
00:09:27
le fait que ces en lien avec des traumatismes extrêmement violents extrêmement
00:09:32
grave et qui doivent au contraire à tirer de la
00:09:35
part du médecin beaucoup plus d'attention beaucoup plus de compassion
00:09:39
que n'importe quels problèmes somatiques n'importe quel malaise
00:09:45
alors
00:09:47
crises épileptiques crise non épileptiques ces deux problèmes le très sérieux et l'autre ces deux problèmes
00:09:54
qui reste en partie mystérieux les unes seule différence dans un cas on voit une décharge dans le
00:09:59
cerveau dans l'autre espace autre chose qu'on ne comprend pas mis à part des charges
00:10:09
la difficulté 0 un et lié au fait qu'il ya beaucoup de points communs
00:10:14
dans la manière dont ça peut se présenter aux médecins et aux malades pour
00:10:19
le malade je vous le disais il n'a pas vraiment conscience
00:10:23
un de ce qu'il se passe dans un cas comme dans l'outil peut ressentir des symptômes et
00:10:29
une fois encore pour lui c'est quelque chose qui s'imposent à lui qui s'impose à son cerveau et à
00:10:33
son corps et qu'il ne maîtrise pas dans un cas comme dans l'autre c souvent favorisé par le stress
00:10:42
d'ailleurs dans l'épilepsie dans les crises d'épilepsie on rencontre régulièrement des situations où
00:10:50
les personnes les patients vous disent mais puisque vous êtes sur ceux de l'épilepsie parce que
00:10:55
quand même écrit elles surviennent presque toujours quand j'ai un stress unis émotions fortes
00:11:02
donc si ces liés au stress à l'émotion sympa et de l'épilepsie ainsi et en l'occurrence
00:11:12
et ce qui provoque une décharge neuronal anormal c'est qu'
00:11:16
un moment donné le cerveau de zones du cerveau
00:11:19
et trop excité pourquoi elle va trop excité à ses pas ce
00:11:23
qui se passe quelque chose qui en général via notre environnement
00:11:28
et donc effectivement bien sûr pas pour toutes les crises d'épilepsie certaines crises d'épilepsie par exemple
00:11:33
surviennent qu'au sommeil donc on n'ait pas soumis au stress pas donc l'andorre
00:11:37
mais chez beaucoup de personnes les crises d'épilepsie sont favorisés par le stress et les crises non épileptiques aussi
00:11:45
en plus le fait d'avoir en réaction au stress excessif
00:11:52
deux nous dit pas un sujet d'épilepsie ou pas depuis que les symptômes même
00:11:59
on a parlé entre professionnels tout à l'heure il ya des différences
00:12:04
elles sont fines ces différences liées il faut il faut être expert pour les reconnaître
00:12:10
pour un non expert c'est quasiment impossible pour un médecin non
00:12:13
expert c'est quasiment impossible pour un neurologue non formés
00:12:17
à l'épilepsie c'est quasiment impossible et donc sans aucune difficulté on voit des erreurs dans les deux sens
00:12:26
on voit des personnes qui souffrent de crises non épileptiques ou le médecin va penser que
00:12:31
ces d'épilepsie et envoie des personnes qui souffrent d'épilepsie ou le médecin
00:12:37
va croire que ces non épileptiques et la difficulté supplémentaire c'est parfois si les deux ensemble
00:12:47
les personnes sous devrait crises d'épilepsie et vont plus avoir des crises non épileptiques enlacés
00:12:54
la politique pour le médecin extrêmement difficile parce que
00:12:59
non seulement les deux problèmes sont conjugués mais
00:13:03
se pose pour lui la question quoi faire avec les traitements c'est pas les
00:13:06
mêmes traitements pour la crise d'épilepsie la crise non épileptiques donc si
00:13:10
mon patient vient me voir et me dit bien pendant les 3 derniers mois j'ai refait dit nouvelle
00:13:15
crise et ce que j'augmente son traitement antiépileptiques estce que je donne un autre traitement apparaîtrait difficile
00:13:25
alors comment on peut avancer dans ces cas là eux ou en discuter tout à l'heure ya
00:13:30
ya un certain nombre d'éléments mais le plus important c'est d'arriver à voir
00:13:36
unis un film un enregistrement vidéo décrit si on a
00:13:40
plusieurs si en un seul type de la crise
00:13:44
c'est vraiment le plus important pour faire le diagnostic aucun examen complémentaire peut remplacer sans
00:13:51
alors social hôpital par certains sans dans certaines unités mais ça peut de plus en plus offerts
00:13:56
à la maison parce que voilà maintenant tout un chacun smartphone avec une fonction vidéo
00:14:01
et si le patient vivre en famille avec un conjoint
00:14:05
avec des parents avec des frères et soeurs compagnon
00:14:09
eh bien il faut faire en sorte qu'à l'occasion d'une des crises au moins
00:14:14
l'appareil puis cette sortie mise en route rapidement et filmé la scène qui dure voilà quelques minutes
00:14:20
ça c'est le meilleur éléments diagnostic pour les médecins
00:14:25
pour les médecins experts
00:14:28
5 appris à distinguer les deux types de crises d'après ce qui est important une fois qu'on a
00:14:38
fait le diagnostic ça va être de d'expliquer ce que j'essaye de vous dire ce soir
00:14:45
la première chose lorsqu'on pense que personne sous de crises non épileptiques
00:14:51
qu'elle souffre par ailleurs de crises d'épilepsie ou uniquement de christ en dépit de la première chose
00:14:59
pour les médecins comme pour la famille de la personne
00:15:03
et surtout de ne pas culpabiliser patients
00:15:07
dernière chose à faire sait de lui dire mais alors que prétendait faire des crises d'épilepsie m'enfin
00:15:12
je sais pas devrait créer chuck lui une gueule quoi vraiment c'est pas très sympathique
00:15:20
les patients non pas conscience de ce qui se passe ils maîtrisent pas
00:15:25
comme je voulais dire au départ la plupart d'entre eux qui souffre de crises non épileptiques
00:15:31
ont développé cela pas ce qu'ils ont eu des événements de vie dramatique et ce sont des personnes
00:15:37
dont on sait qu'elle souffre plus que les personnes qui n'ont que des crises d'épilepsie
00:15:42
plus de dépression plus de troupes de l'humeur
00:15:47
une qualité de vie ou la mesure avec des échelles qui encore plus altérée déjà les très
00:15:52
altérée par l'épilepsie chronique sévère mais va être encore plus par les crises non épileptiques
00:15:57
o surtout pas culpabiliser les personnes qui ont des crises non épileptiques
00:16:01
il faut surtout pas alors laissé entendre que si rien ça se passe dans la
00:16:06
tête d'eux ils ont k. faire en sorte que sa riche plu
00:16:12
au d'emblée effectivement leur expliquer qu'on ne comprend pas bien
00:16:17
pourquoi marie sellier sans doute à des événements de vie
00:16:22
c'est possiblement favorisée par le stress
00:16:26
q.
00:16:28
en discuter avec mon collègue qui va intervenir après psy 4
00:16:33
de mon point de vue il ya plus de chance de pouvoir
00:16:36
guérir ce type de crise que des crises d'épilepsie réfractaire
00:16:41
avec le traitement médicamenteux puisque malheureusement les épilepsie réfractaires qui ont résisté
00:16:46
à plus de deux ou 3 ou 4 médicaments antiépileptiques
00:16:50
les chances de pouvoir contrôler les crises avec de nouveaux
00:16:53
médicaments sont extrêmement faibles quelques pourcent et crises
00:16:58
non épileptiques eux heureusement on a un petit peu plus de succès même si ces difficiles
00:17:05
et puis souvent il va falloir organiser une prise en charge avec eux à la fois médecin
00:17:10
neurologue épileptique log et ainsi 4 qui est indispensable pour eux pour la prise en charge
00:17:17
donc oui un important que j'évoquais tout à l'heure
00:17:25
comme le diagnostic et difficile c'est un domaine où les médecins peuvent ne
00:17:29
pas être d'accord ça arrive très régulièrement il faut l'accepter
00:17:34
vous acceptez que quand la médecine et face à des situations complexes et bien on
00:17:40
va être nécessairement confrontés aux limites de l'âme de l'exercice de la médecine
00:17:45
et qu'il veuille avoir plus d'erreur diagnostique et plus de désaccord entre les médecins que
00:17:50
condé devant des situations médicales simple et là on est vraiment dans le très difficile
00:17:58
je dis souvent que dans cette situation
00:18:02
l'erreur la plu la plus grave vis-à-vis du patient ces milliers une véritable epilepsie
00:18:13
edit tout à l'heure un patient peut souffrir de crises
00:18:17
non épileptiques et puis par erreur on pensait dépilepsie alors
00:18:20
bien sûr ça aussi des conséquences à lui donner des médicaments antiépileptiques qui ont des effets secondaires pour rien
00:18:28
c'est pas souhaitable
00:18:30
mais je dirais que voilà au moins on reconnaît la nature
00:18:36
handicap en de son problème et puis en général cette
00:18:40
erreur elle sera corrigé quand il verra le spécialiste
00:18:44
cette erreur elle survient souvent eux en contexte d'urgence
00:18:50
le patient qu'arriver puis qui semblent avoir des convulsions aux urgences simple qui peut la panique
00:18:57
heures fasse appel à de jeunes médecins qui n'ont pas encore
00:19:00
été formés donc on injecte du valium pour arrêter la crise
00:19:05
parfois ça oblige un tube et ensuite la personne envoyés aux soins intensifs et puis on a fait tout ça
00:19:10
pour rien presque évident certaines crises non épileptiques et par la suite eh bien on va pouvoir rectifier diagnostic
00:19:18
et le grade de mon point de vue c quand un patient sous d'une
00:19:22
véritable épilepsie et que le médecin ne reconnaît pas en tant que telle
00:19:28
et en plus à une attitude vis-à-vis decrees non épileptiques
00:19:33
culpabilisant hanté et ne prenant pas en compte tout ce que j'évoquais tout à l'heure
00:19:39
on se retrouve face à des personnes qui elle ressent très bien que ce sont des crises d'épilepsie et le savent
00:19:46
elles sont fasse un médecin qui nie la réalité de leur maladie as assez
00:19:51
ça c'est très difficile puis ça peut durer des années des années
00:19:59
par exemple que
00:20:02
considère comme absolue et qu'effectivement qu'en aidant dans une situation troubles oui un doute
00:20:10
date en tant que médecin vous pensez je crois que ce ne sont pas des vrais christ épilepsie pas absolument sûr
00:20:17
que vous avez en face du vent patients qui lui a très clairement ce
00:20:21
que ce dont il se soucier des crises d'épilepsie presque intérieurement
00:20:26
part du temps s'essaie quand même sensation extrêmement prenante
00:20:32
alors que les crises non épileptiques c'est plus un trou noir c'est quelque chose on patiente souviens pas
00:20:36
il faut pas vous en parler type i rien précisé qu'arrive la plupart du temps pendant la crise
00:20:42
eh bien donc le patient raison
00:20:44
et il faut faire confiance aux patients de manière générale le
00:20:49
décompte des dans des situations de diagnostic troubles difficile incertaine
00:20:54
et puis pour le patient bacille confronté à un mur
00:20:58
partie des médecins qui pensent qu'il est totalement naturelle et adéquate d'aller demander un second ta vie
00:21:09
donc voilà un petit peu moins que ce que je voulais vous irez puis maintenant
00:21:14
dispositions pour qu'on en discute je suis sûr vous avez beaucoup de questions et voila et
00:21:19
pour résumer les points importants c'est qu'effectivement il ya l'épilepsie avec ces décharges
00:21:24
il ya des crises qui peuvent ressembler beaucoup à l'épilepsie et qui n'en
00:21:28
sont pas parce que dans le cerveau c'est pas le même phénomène
00:21:32
parfois on peut avoir les deux chez la même personne diagnostic et difficile les
00:21:36
médecins peuvent se tromper les médecins peuvent ne pas être d'accord
00:21:41
b dans les deux cas de figure c'est quelque chose à prendre extrêmement au sérieux
00:21:45
0 un heures comprendre que dans les deux cas de
00:21:49
figure le stress effectivement joue un rôle important
00:21:53
ex les papas ce que le stress déclenché crise que se font nécessairement des crises non éclectique
00:22:00
voilà je crois que vous avez dit l'essentiel de mon message et puis maintenant je

Share this talk: 


Conference Program

Bienvenue et introduction
Susanne Renaud, Service de neurologie de l'Hôpital neuchâtelois
March 16, 2017 · 7:40 p.m.
631 views
Crise et épilepsie: de quoi parle-t-on?
Philippe Ryvlin, CHUV, Lausanne
March 16, 2017 · 7:50 p.m.
785 views
Questions du publique : Crise et épilepsie: de quoi parle-t-on?
Philippe Ryvlin, CHUV, Lausanne
March 16, 2017 · 8:10 p.m.
240 views
Epilepsie et soins psychiatriques
Joao Flores Alves dos Santos, Centre neuchâtelois de Psychiatrie
March 16, 2017 · 8:20 p.m.
1383 views
Questions du publique : Epilepsie et soins psychiatriques
Joao Flores Alves dos Santos, Centre neuchâtelois de Psychiatrie
March 16, 2017 · 8:50 p.m.
509 views

Recommended talks

Présentation globale & historique législatif
Serge Cornut, Directeur de la taxation des personnes physiques, Administration fiscale cantonale de l'Etat de Genève
March 30, 2017 · 5:36 p.m.
358 views